Déjà écrasée dans les urnes, l’opposition ivoirienne l’est à présent dans les tribunaux. Un mois après l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire, remportée sans surprise et pour la quatrième fois par Alassane Dramane Ouattara avec 89,77 % des voix dès le premier tour, les arrestations d’opposants au pouvoir se poursuivent.
Cet article est réservé aux abonnés
Vous souhaitez lire la suite ? Abonnez-vous sans engagement à notre offre numérique

