Elle semble déjà remonter à loin, cette époque, mais avant de faire tourner les têtes à Montréal et ailleurs sur la planète, Victoria Mboko s’est d’abord grandement illustrée sur le circuit ITF, dans l’antichambre de la WTA, en début d’année.
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Tellement que la Fédération internationale de tennis a fait de la Canadienne de 19 ans sa première nommée dans la classe de 2025, lundi, une distinction qui «célèbre les réalisations de cinq joueurs qui ont connu des résultats incroyables sur l’ITF cette saison».
En janvier et en février dernier, avant de faire ses débuts sur la WTA, la joueuse de Burlington, en Ontario, a remporté pas moins de 20 victoires de suite sur l’ITF, le tout sans échapper une seule manche.
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Elle a ainsi remporté quatre titres sur le circuit au cours de ces deux mois, avant d’en ajouter un cinquième, en mars.
Une obligation exceptionnelle
Ces excellents résultats lui avaient alors permis de passer de la 333e à la 188e place au classement mondial.
Ils l’avaient sans doute aussi pensé à faire le saut sur la WTA avec une grande confiance. Car par la suite, Mboko a bien sûr ajouté un titre à l’Omnium Banque Nationale de Montréal, un tournoi prestigieux de la catégorie WTA 1000, en plus de remporter le trophée WTA 250 de Hong Kong, à la fin de la saison.
L’Ontarienne a ainsi conclu la saison au 18e rang, un sommet dans sa très jeune carrière.
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